| Extraits  | 
| I:29 |  | 6  |  On ne doit ni porter des toho ni en parler lorsqu'on va traverser la rivière Onive, qui coule au sud d'Antananarivokely, comme l'Ikopa passe au sud d'Antananarivo. 
| I:190 |  | 7  |  Vous avez été ensorcelé. Allez chercher le remède qui convient, 	prenez de l'alakamisy, du manavodrevo; râpez-en les racines dans l'eau froide et buvez-le tel quel. 
| I:191 |  | 8  |  On râpe des racines d'alakamisy et on les boit délayées dans l'eau. 
| I:239 |  | 9  |  On fait bouiller des feuilles d'alakamisy et on boit la décoction; on peut encore râper la racine et boire la râpure délayée dans l'eau. 
| I:521 |  | 10  |  Andriantsitakatrandriana dit à Rafoloarivo: "Préparez-vous, car nous allons creuser des canaux qui feront produire du riz à ce marais enfoncé qu'est le Betsimitatatra". 
| I:522 |  | 11  |  C'est Andriantsitakatrandriana qui fit aménager les premières rizières du Betsimitatatra. Autrefois il ne poussait dans le Betsimitatatra que des zozoro, des joncs et de la petite forêt; dans la suite, quand Andriantsitakatrandriana habita ici à Tananarive, il dit: "Nous habitons dans une île; faites produire du riz à ce Betsimitatatra". Et il réfléchit à ce qui pourrait lui en faire produire. Il fit trancher toute la forêt, le zozoro et les joncs et fit construire une digue du côté sud, en la faisant commencer à Andriantany; il transforma la partie du Betsimitatatra qui se trouve à l'ouest de Tananarive en rizière. Le reste continua à être un marais et ce fut sous les souverains qui suivirent que le tout fut ransformé en rizières. 
| II:73 |  | 12  |  En apercevant l'Ikopa, Andrianavalontompo se maudit lui-même en ces termes: "Ô, crocodiles et caïmans qui vivez là-dedans, ô célèbre Ikopa, si je ne puis arriver à Betsimihafy, dévorez-moi, noyez-moi, eaux, car les crocodiles ont peur de me mettre à mort!" 
| III:251 |  | 13  |  Alakamisy, au sud d'Ambohimanga, sera le marché d'Ambohimanga: ici, dorment les morts et veillent les vivants: d'où le nom d'Ala-ka-misy que je lui ait donné: il a été enlevé et transporté auprès de Dieu (ala); et pourtant il y a encore quelqu'un qui le remplace (ka misy). 
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