Explications en français |
3 orthographié « mongué » par Chapelier, 1794. Sur son échantillon Chapelier n°1, il a écrit : « cette espèce forme un arbre de la grosseur du corps d'un homme dont le bois qui est tendre, est recouvert d'une écorce épaisse de plusieurs pouces rougeâtre intérieurement et d'une belle couleur verte sous l'épiderme qui est fort mince et se détache facilement ». Croton mongue Baill. et Croton chrysodaphne Baill. (Euphorbiaceae). C'est l'échantillon n° 2 de Chapelier qui écrit : « Cette espèce forme un petit arbre dont la tige n'est guère plus grosse que la cuisse d'un homme. Son bois est dur, moëlle rougeâtre, son écorce mince et dont l'épiderme ne s'enlève qu'avec difficulté. » Comme mongy. [Betsimisaraka]
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