Nous franchissons le Kamoro, rivière formée d'une chaîne d'étangs et de marigots assez profonds, sa largeur au point de franchissement étant d'environ une cinquantaine de mètres. Des chalands plats ont permis d'organiser une sorte de bac-à-traille qui permet à nos chevaux de franchir, sans crainte d'enlisement, ce cours d'eau.